<img28800|left>Flashmob. Ce terme anglais désigne une mobilisation éclair d’une foule à tel ou tel endroit. Le phénomène démarre début 2003 aux Etats-Unis, avant d’arriver sur les autres continents l’été suivant. À Paris le 28 août de la même année a eu lieu le premier flashmob français. Une centaine de personnes se sont retrouvées dans le hall du musée du Louvre, ont marché rapidement en parlant au téléphone. Elles se sont immobilisées soudainement, ont applaudi quelque chose en l’air puis se sont dispersées. Il a été renouvelé un an plus tard : 300 personnes y ont participé. De nombreux flash mobs ont eu lieu depuis dans la plupart des grandes villes françaises. A Nice, c’est la sixième qui aura lieu ce dimanche. « Le but est de passer un moment d’amusement en créant une œuvre d’art vivante. On ressent un étrange sentiment lorsqu’on participe à une flashmob. On se trouve en communion avec une foule d’inconnus qui sont tous réglés comme par magie sur une même vibration. La participation aux flashmobs niçoises a vu 500 personnes la première fois. Nous en espérons le double dimanche », nous explique Anne Onime du site flashmob06.fr.
Mille personne gelées
Imaginez un millier de personnes complètement gelées. Imaginez-les n’émettant plus aucun son, ne faisant plus aucun geste alors que vous vous baladez tranquillement sur la place Masséna en famille ou avec vos amis. Vous trouveriez cela étrange, digne d’un film paranormal. Nous aussi. Mais rassurez-vous ! Des gens vont bien se figer dimanche 1er mars à midi sur la place Masséna mais uniquement par plaisir.
On ne vous en dit pas plus. Venez voir par vous-même en participant…