Dans le cadre du volet financier de l’affaire de la SEMIACS, dont la gestion très critiquée a provoqué la mise en examen de deux responsables, plusieurs personnes ont été placées en garde à vue, ce mercredi, dont des membres du syndicat majoritaire, la CGT,
La gestion de la Semiacs par son ancienne direction était vivement critiquée.
Dans son rapport, en septembre 2015, la Chambre régionale des comptes parlait « d’ampleur et de récurrence des irrégularités »
Le scandale avait éclaté en 2013 et avait coûté, à l’époque, leur place au directeur général de la Semiacs, Henri Alonzo et à son ancien président, Benoît Kandel, ex premier adjoint de Nice, tous deux mis en examen pour escroquerie en bande organisée, favoritisme, recel de favoritisme, prise illégale d’intérêts, détournement de fonds publics, corruption active et passive, abus de bien social, faux, et subornation de témoins pour la période comprise entre 2010 et 2013.
Reste à savoir ce qui a été découvert de nouveau dans un dossier qui ne semble pas vraiment prêt à se refermer…