Organisée le 10 octobre chaque année depuis 2003, la Journée Mondiale contre la peine de mort rappelle à tous les citoyens l’importance du combat mené par la France et par de nombreux pays pour l’abolition universelle de la peine de mort.
Ce doit être sera l’occasion de mettre l’accent sur la sensibilisation des acteurs de monde politique et de la société civile dans le combat pour l’abolition.
Encore beaucoup d’Etats pratiquent ce châtiment. En fait, un serait déjà de trop!
Amnesty International a noté une diminution de 37 % du nombre d’exécutions qui ont eu lieu dans le monde en 2016, par rapport à 2015. Au moins 1 032 personnes ont été
exécutées, soit 602 de moins qu’en 2015.
Sa représentation niçoise, en cette journée célebrative , organise une journée porte ouverte à son siège au 36 de la rue Gioffredo.*
A cette occasion, les visiteurs pourront visiter l’exposition » Pourquoi faut-il abolir la peine de mort » et visionner le court-métrage « Voir pour comprendre#1: La peine de mort », réalisé par Feat Nota bene avec l’agrément d’Amnesty International France
Ils pourront également signer de pétitions pour sauver des condamnés, faire surseoir à leur exécution, leur garantir un nouveau procès équitable et impartial et participer
à des discussions libres avec les membres d’Amnesty International.
La pratique de la peine de mort régresse chaque année pour de nombreux pays, mais le podium de cette pratique contraire aux droits humains reste occupé par la Chine, l’Iran, l’Arabie saoudite, la Syrie…qui l’appliquent massivement dans une grande opacité et à l’issue de procès inéquitables.
En Europe le Bélarus demeure le dernier pays à appliquer la peine de mort.