Dimanche 6 mai, les électeurs ont choisi un président dont les idées se situent aux antipodes de leurs attentes. Quel que soit le sujet, les socialistes iront à contre-courant du bon sens et des aspirations des Français.
Au lieu de lutter contre l’immigration « sociale », qui vient en France uniquement pour profiter du système, on va avoir droit à un relâchement des contrôles et une plus grande tolérance à l’immigration clandestine.
Au lieu de se poser la question de la baisse générale du niveau scolaire et essayer de comprendre pourquoi l’université est devenue une « usine à fabriquer des chômeurs », on va avoir droit à la promesse irréalisable de créer 60 000 postes supplémentaires dans l’Education Nationale.
Au lieu de soulager les Français, étranglés financièrement par un pays qui bat tous les records de prélèvements obligatoires, on a François Hollande qui promet une couche supplémentaire d’impôts.
Au lieu de répondre à la frustration de la classe ouvrière, outrée de constater que beaucoup, qui ne travaillent pas, s’en sortent aussi bien qu’eux, voire mieux dans certains cas, on va avoir une politique qui va encore développer ces avantages injustes rejetés par une bonne partie du peuple français.
Enfin, pour ceux qui rêvent d’une moralisation de la vie politique, on rappellera que le secrétaire général du parti socialiste, François Hollande, a couvert les turpitudes que l’on connait dans les fédérations socialistes du Nord ou des Bouches-du-Rhône et qu’aujourd’hui, 57 élus socialistes, maires de grandes villes, parlementaires ou présidents de conseils généraux, qui ont pourtant été mis en examen ou condamnés, continuent à occuper des fonctions importantes !
