Suite à un appel lancé ce jour par la Fédération des conseils de parents d’élèves (FCPE) concernant le refus de certaines municipalités d’accepter l’ensemble des élèves dans les cantines scolaires (notamment ceux dont un des parents est en situation de chômage), la ville de Nice tient à apporter les précisions suivantes :
Malgré le fait que la restauration scolaire ne soit pas un service public obligatoire, la ville de Nice tient à accueillir tous les enfants qui le souhaitent au sein de ses cantines. Cet accueil doit se faire dans les meilleures conditions de diététique, d’hygiène et de sécurité.
Les conditions d’admission des demi-pensionnaires sont clairement définies. Sont accueillis les enfants dont :
- Les 2 parents ou le parent responsable travaillent ;
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Les 2 parents ou le parent responsable sont en recherche d’emploi ;
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Familles nombreuses (à partir de 3 enfants) ;
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Eloignement du domicile.
La ville met tout en place, dès que la situation se présente, pour répondre favorablement à la demande des parents souhaitant inscrire leur enfant en demi-pension.
Ainsi, quand un site de restauration devient trop petit pour accueillir les enfants, la municipalité peut entreprendre des travaux de réaménagement des salles de l’établissement pour les transformer en réfectoire (cela a été le cas dans plusieurs établissements du premier degré cet été).
La ville de Nice tient également à rappeler que le quotient familial qui fixe l’application du tarif réduit des repas est passé cette année de 500 à 600 euros, ce qui permet à près de 1.000 familles supplémentaires d’en bénéficier.
