Du Royal Albert Hall de Londres au Carnegie Hall de New York en passant par Rio de Janeiro, le spectacle produit par le Niçois Gil Marsalla, avec la voix merveilleuse d’Anne Carrere pour refaire revivre la Môme, a toujours fait salle comble et attiré ainsi plus d’un million de spectateurs dans le monde entier.
Afin que la légende se poursuive, Gil Marsalla a donc imaginé Piaf Symphonique.Il s’agit de refaire vibrer cette fois l’aura de l’interprète de La vie en rose au diapason d’un orchestre classique.
Anne Carrere est, bien sûr, la tête d’affiche de ce spectacle, entourée par l’Orchestre Philharmonique de Nice placé sous la baguette de son directeur musical György G. Ráth, dont la première mondiale sera donnée ce vendredi à 20h sur la scène de l’Opéra de Nice.
Pour réorchestrer les chansons avec des harmonies différentes, il a été fait appel à un musicien japonais, Nobuyuki Nakajima, l’arrangeur qui a signé l’album Gainsbourg symphonique enregistré par Jane Birkin.
Et le « piano à bretelles » étant indissociable de l’univers d’Édith Piaf, l’accordéoniste Guy Giuliano viendra égrener ses accords pendant le spectacle.Populaire ou classique, la musique est toujours grande quand elle se veut le langage universel qui nous relie tous…