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22 novembre 2024

AaRON : après l’Olympia, le Théâtre Lino Ventura de Nice

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aarlive3rgb-2.jpgNice ? Simon Buret se souvient de quelques images de vacances, des souvenirs sur la plage, entre potes. Olivier Coursier, lui, vient sur la Côte d’Azur pour la première fois. Mais il n’aura pas le temps de voir autre chose que le Théâtre Lino Ventura. Le matin en Suisse, le lendemain à Marseille : AaRON parcourt la France avec un agenda surchargé. Les deux garçons ont posé leurs valises au nord de Nice, une demie journée. Le temps de quelques interviewes et d’un concert.

Tout l’été, le duo a tourné dans les festivals. Il continue à voyager, au gré des concerts, et il pense à l’avenir : « On commence à réléchir à un deuxième album. Mais on attend un peu, que le calme soit revenu autour de nous. On ne va pas faire un autre album parce que le premier a marché. On veut continuer à travailler à l’instinct. » Simon écrit un film, qu’il commencera a tourner dans l’hiver et dont ils vont faire la musique. Ils ecrivent aussi des chansons pour d’autres artistes.

Les 20 et 24 novembre le duo était à l’Olympia, sur un petit nuage. « On pensait qu’on allait faire un bon concert, mais on ne se doutait pas que ce serait aussi fort », raconte Simon, le chanteur. Pour l’occasion AaRON était accompagné d’un quatuor de violons : « Sans tout changer au spectacle, on voulait quand même marquer le coup ! Nous sommes arrivés à l’ Olympia super vite, c’est magique… On a vécu un moment très fort. » Les deux garçons d’AaRON « se marrent un bon coup » avant de monter sur scène, comme un rituel, pour transformer le trac en moteur.

Ambiance intime au Théâtre Lino Ventura

Un fond de ciel étoilé. Quelques accords de piano, de guitares, et la voix douce légèrement éraillée de Simon Buret. AaRON s’installe tranquillement sur scène et invite le public à entrer dans son petit monde. Tendre et mélancolique. Drôle et imaginatif.
Face à leurs fans azuréens, les deux garçons se sentent rapidement comme chez eux. Simon prend le public à parti et le fait rire : « On va avoir besoin de vous. On foire tout le temps l’intro de cette chanson. Tant qu’à faire, c’est plus sympa si on la foire tous ensemble ». Moment d’émotion, presque fragile, quand Simon tend le micro à son public, le temps d’un refrain : « Don’t worry, life is easy ». Sur les rares chansons plus rock, quand Olivier quitte le piano pour la guitare électrique, Simon lance comme un défi : « vous pouvez foutre le bordel ! » Pour leur tournée ils sont accompagnés d’une talenteuse violoncelliste, dont les accords accompagnent avec grâce les mélodies. La magie opère.

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