Mis aux archives la première décennie , une nouvelle page va être écrite par ce Festival qui arrive ponctuel quand le feuilles commencent à tomber et annoncent le passage entre l’automne et l’hiver.
En ces moments, plus que dans d’autres, on a besoin des sons, des tonalités, des mélodies, des rythmes que seul la musique peut nous faire entendre et , en quelques sorte, nous transmettre.
Dans cette inspiration, qui se traduit dans un sentiment d’écoute et inspiration, réside la amgié de ce festival à nul autre pareil qui réunit, en l’espace de trois jours, plus de 50 concerts pour le plaisir de plus de 70000 spectateurs comme l’année dernière.
Une sorte de démocratisation de la culture musicale- pourrait-t-on dire ?
Cette année « C’est pas classique » s’est offerte un parrain, le très connu journaliste Patrick Poivre d’Arvor, présentateur à Radio Classique et lui-même passionnée : c’est la cerise sur le gâteau d’un plateau fort intéressant qui alterne la symphonie à l’électro, le piano au chant lyrique, les musiques de film et celles de la science-fiction.
Un programme si riche et varié qui ne pourra que satisfaire les différents goûts et aura , son moment magique, lors de soirée d’ouverture avec la performance du pianiste de renommée internationale, Boris Berezovsky, qui accompagné par l’orchestre philarmonique sous la direction de Philippe Auguin, interprétera le concerto pour piano n° 1 de Piotr Tchaikowsky.
« Imagination, finesse et audace, voici la trilogie qui définit ce festival » dixit le président de Conseil départemental Eric Ciotti en le présentant.
