Nice Premium : Alors Fabrice, comment s’est passé ce lancement de « Que rien ne bouge » ?
Fabrice Mauro : Bien, très bien même. Pour tout vous dire je suis très agréablement surpris par l’accueil fait à mon roman et par le nombre de ventes. Sans aucune publicité, avec très peu de presse, on peut dire que ça démarre très fort. Je suis encore plus heureux des témoignages des lecteurs que j’enregistre sur mon blog et que je publie ou ceux, tellement forts et poignants que je ne publie pas. C’est vraiment une très belle aventure.
NP : Et ce Festival du Livre ?
FM : Je suis passionné par la littérature. Ça fait des années et des années que je sillonne les festivals du livre à Nice, Mouans-Sartoux ou Paris. Ca fait une drôle de sensation de se retrouver de l’autre coté de la barrière, assis à une table pour dédicacer. Se retrouver à coté d’écrivains pour qui j’ai beaucoup de respect et d’admiration était un peu gênant, je me sentais un peu imposteur. Et puis il y a le public, les sourires, les encouragements, les échanges, les rires, les mots gentils, les auteurs avec qui j’ai sympathisé, les libraires. Je suis si heureux d’avoir vécu cela. Un véritable régal.
NP : Finalement, malgré votre titre, ça bouge bien à Nice ?
FM : Oui, heureusement. Il n’y a que les mauvaises langues pour dire que Nice ne bouge pas. Pour s’ennuyer ici il faut le faire exprès. Pour les jeunes ou les moins jeunes, en journée ou en soirée il y a toujours mille choses à faire à Nice et dans le comté de Nice. Pour en revenir à mon roman, il n’y a qu’à la dernière ligne « que rien ne bouge », avant d’y arriver, il se passe beaucoup de choses…
NP : Entre vous et nous, vous avez commencé votre deuxième ouvrage ?
FM : Oui. Pour être tout à fait honnête je l’ai commencé avant la sortie de Que rien ne bouge. Autre lieu, autre époque, il n’y aura aucune comparaison possible avec mon premier roman. Je n’ai pas du tout l’intention d’user un sillon quand bien même il fonctionne favorablement. J’ai suffisamment critiqué les auteurs qui se prêtent à ce jeu pour les imiter. Ceci étant, le lancement de Que rien ne bouge me prend tellement de temps que je suis un peu au point mort niveau écriture en ce moment. Je vais m’y remettre très bientôt, comme pour le premier, avec beaucoup de discipline, une heure par jour, de 7h à 8h…à la fraîche.
NP : Et si un jour « Que rien ne bouge » passait côté grand écran ?
FM : Beaucoup de lecteurs me disent que le scénario de Que rien ne bouge s’adapterait parfaitement au cinéma. Il y a un festival à Francfort en octobre auquel je vais peut être participer, consacré aux rencontres entre littérature et cinéma. Très honnêtement j’adorerais vivre cette aventure. Je ne connais rien de ce monde mais ce doit être fascinant. On peut rêver…
NP : Enfin, des signatures prévues à la rentrée des vacances ?
FM : Oui, je pense organiser une signature à la rentrée, peut être au Fran calin, je serai présent au Festival du livre « Montagne, Nature et Traditions » de Guillaume le 22 août, à Colomars début septembre, à Levens le 12 septembre et au festival du livre de Mouans-Sartoux les 2, 3 et 4 octobre prochains. Plein d’occasion de rencontrer des lecteurs, de discuter…le bonheur !
Découvrez le livre de Fabrice Mauro:
» Que rien ne bouge »