Lois de la gravité, frissons provoqués, ambiance zen, suspense et humour croissant, « pas perdus » mélange joyeusement acrobaties, humour et menuiserie dans une mise en scène esthétique, ludique et judicieuse. Polyvalents, les artistes multiplient les prouesses, jonglent, jouent du violon, de la guitare électrique, du saxo, de la clarinette pour finir en concert drolatique.
Les Argonautes se sont rencontrés en 1993 à Bruxelles. Avant, ils étaient un peu partout. Maintenant aussi, mais ils y sont à quatre. En fait, ils sont cinq comme les trois mousquetaires. Mais ça ne change rien à ce qui a été dit avant.
Depuis ils font du cirque où le mouvement est roi et la parole dort, en tentant de mettre les prouesses techniques au service de l’émotion. Ils se meuvent et s’émeuvent dans des spectacles son, lumières et faits spéciaux où la dérision côtoie l’absurde, la poésie et la mesquinerie.
A la recherche effrénée du chemin le plus courbe entre deux lignes droites, ils ont découverts malgré eux qu’il vallait mieux prendre la gravité à la légère et qu’à rire de tout, on ne désespérait de rien.
Les Argonautes se sont rencontrés en 1993 à Bruxelles. Avant, ils étaient un peu partout. Maintenant aussi, mais ils y sont à quatre. En fait, ils sont cinq comme les trois mousquetaires. Mais ça ne change rien à ce qui a été dit avant.