Les Bleus vont rentrer à la maison , mais reste le mythe du stade brésilien, où aura lieu la finale du Mondial. Et c’est de la Côte d’Azur qu’a surgi Canta o Maracanã. Cette chanson de Sol Tropical se distingue des rengaines qu’on a l’habitude d’entendre en temps de coupe du monde, avec des percussions qui ne sont pas synthétiques mais authentiques.
A la guitare : la participation exceptionnelle de Roberto Menescal. En 1950, il assistait en famille au dernier match de la Coupe du monde, au Maracanã. En 2014, devenu une légende de la musique brésilienne, toujours en pleine créativité dans une carrière couronnée à Las Vegas en novembre dernier par un Grammy Award latino, il se joint aux Azuréens de Sol Tropical pour cette samba dédiée au stade de Rio.
Une partie des images de ce clip figure dans le livre Brésil, voyages en ballons. Préfacé par le non moins légendaire footballeur brésilien Zico, il est édité par l’association azuréenne Nord-Sud Développement.
Ce livre comporte des textes et 88 photos collectés durant 20 ans dans 26 villes brésilienne.
Le sujet qu’il aborde le plus abondamment, dans sept pages, est justement… le Maracanã, avec des informations de première main tirées de l’architecte de sa rénovation et de trois générations de riverains du stade, dont un a assisté à la tragique défaite en 1950.