Mais pour le moment, le médecin le plus médiatisé s’accorde quelques mois de relâche. Et pour cause ? David Brecourt remonte sur les planches pour jouer au « Jeu de la vérité » dans lequel il interprète le rôle du père de famille emprunté.
Le théâtre … retour à ses débuts : il faut dire qu’il a commencé à l’âge de 12 ans dans une pièce de Montherland. Oui, David Brecourt a 29 ans de carrière : théâtre, télévision ou cinéma : Acteur ou Comédien ?
Rencontre avec David Brecourt, un homme discret qui aime son travail.
Nice-Première : Vous avez joué dans un téléfilm intitulé « Alerte sur Paris : L’invasion par les rats » diffusé sur TF1 dans lequel vous interprétez le rôle d’un docteur. Ce n’est pas la première fois qu’on vous voit en blouse blanche ?
David Brecourt : En effet. Mais c’est un autre médecin, une autre histoire. (Sourire) En fait, je n’ai pas tellement le choix. Quand on me propose quelque chose je le fais.
N-P : C’était compliqué de tourner avec des rats ?
D.B. : Oui. Ça n’a pas été facile.
N-P : Surtout à la fin ?
D.B. : Quand je me fais bouffer. C’était une journée que je n’ai pas tellement aimée. C’était très dur à tourner. Ce n’est pas un très bon souvenir.
N-P : Il y a quand même eu de bons souvenirs ?
D.B. : Oui, tout le tournage a été génial avec la super réalisatrice. J’ai adoré travailler avec Charlotte Brandström. Tourner à Prague, en plus, une ville sublime que je ne connaissais pas. C’était génial.
N-P : David Brecourd, les téléspectateurs vous connaissent plutôt sous le nom de Baptiste Mondino le célèbre docteur de « Sous le soleil ». Jouer un rôle récurrent n’est ce pas contraignant ?
D.B. : Non, il ne faut pas en faire trop. Je pense que c’est la seule récurrence, entre guillemet, que je ferais de ma carrière. Vivre pendant huit ans au côté d’un personnage, je ne le referais pas. J’ai envie de faire des choses différentes tout le temps.
N-P : Justement, tenir le rôle du Docteur pendant huit ans, qu’est ce que cela vous a appris ?
D.B. : On s’est appris des choses tous les deux. Il m’a appris plein de choses : à jouer, à m’investir, à pleurer, à rire …
N-P : La première scène qui vous vient à l’esprit quand je vous dis « Sous le soleil », c’est laquelle ?
D.B. : Le fait d’avoir tourné avec Tonya Kinzinger, celle qui joue ma femme. J’ai une passion pour cette fille. On s’entend super bien. Quand on me parle de « Sous le soleil », c’est elle qui me vient à l’esprit.
N-P : Vous aimeriez jouer dans un rôle un peu plus pointu ?
D.B. : Je voudrais simplement que les chaînes me fassent un peu plus confiance et qu’on me donne des choses un peu plus lourde. Je suis prêt. Mais quoi ? Je ne sais pas vraiment. En même temps, je ne cours pas après la télévision parce que je joue au théâtre en ce moment et tout se passe bien.
N-P : Justement que jouez-vous comme pièce de théâtre en ce moment?
D.B. : On joue « Le jeu de la vérité » avec Philippe Lellouche, Vanessa Demouy et Christian Vadim. Ça fait un an et demi qu’on joue à Paris. On part en tournée en septembre et on fait le film pour le mois de mai pour le cinéma.
N-P : Vous passerez dans la région ?
D.B. : Oui, on joue à Monaco du 1er au 5 février 2007. On joue aussi à Cavalaire, à Toulon, Cannes … pas mal de villes sur la Côte.
N-P : La Côte d’Azur est un lieu qui vous tient à cœur ?
D.B. : C’est un endroit dans lequel il s’est toujours passer des choses très importantes pour moi depuis mon enfance. Je crois même que j’ai été conçu ici par mes parents. (Sourires) Il y a eu de la joie, des drames … C’est curieux. ça fait 20 ans que je viens, pas uniquement pour « Sous le Soleil », j’ai une fille qui a 21 ans, sa maman habite à Eze village. Je suis resté 7 ans là bas. Je connais très bien la région. Il y a une affiliation. Je suis attaché à ici. C’est clair.
N-P : Si David Brécourt était un personnage de série lequel serait-il ?
D.B. : Amicalement Votre.
N-P : Lequel des deux ?
D.B. : Ah et bien Brett Sinclair bien sûr.
N-P : Une série à nous conseiller pour l’été ?
D.B. : Et bien les « redif » de « Sous le soleil » par exemple (sourires).
N-P : Quelle question aimeriez-vous qu’on vous pose ?
D.B. : Aucune.
N-P : Alors on va terminer, si je vous dis « Premier ou Première » à quoi ou à qui pensez-vous ?
D.B. : Première de théâtre.