Cette article est le premier d’une série que l’on espère longue de lecteurs de Nice-Premium désirant s’essayer à l’écriture d’articles. N’oubliez pas que nos colonnes vous sont ouvertes. Si vous voulez faire comme Christophe écrivez à la rédaction : redaction@nicepremium.fr
Ayons en mémoire, il y a quelques années, un débat sur France 3 entre Mr Peyrat et Mr Mottard. Ce dernier a soulevé le problème des musiciens et artistes Niçois enlisés dans leurs problèmes d’exister dans cette ville candidate à un titre de Ville de culture. La réponse de Me Peyrat prononcée fut avec un certain dédain : » mais monsieur je vous parle d’art là, pas d’enfantillage « .
A priver ses artistes en devenir d’outil necessaire, Nice voit sa démographie vieillir. Nice devient une capitale archaïque à coté de ses principales rivales qui ont compris l’enjeu économique et identitaire que représente cet art.
Comment gérer ces infrastructures ?
Il ne suffit pas de construire ( ou rénové ) cette salle tant attendu, il faut encore qu’elle soit disponible et à moindre frais à tout les représentants culturels Niçois. L’argument de la salle 700 au Nikaïa fait comprendre qu’une petite association sans moyen et voulant promouvoir de jeunes artistes Niçois en herbe pour leurs faire acquérir une expérience, et voir enfin des artistes Niçois s’élever au rang national sans avoir pour ça à s’exiler ailleurs, ne peuvent pas y avoir acces ou avec des risques financier mettant leurs propres situation en péril.
Pour arriver à gérer cette salle du peuple finalement, il faut vraiment un engagement municipale et régional unis dans la volonté à faire de Nice une capitale de toute les cultures.
