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22 novembre 2024

L’ECLAT découvre la « Jeune Algérie », trois jours et débats et projections

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Jusqu’au 10 novembre 2012, L’ECLAT propose trois soirées de projections animées par Philippe Azoury pour découvrir la « Jeune Algérie », en présence du « cinéaste-géographe » Tariq Teguia°, et une journée de projection-rencontre avec de jeunes cinéaste algériens et frança


2350_jeunealgerie.jpgEn parallèle à ces trois jours de rencontres, L’ECLAT présentera, le samedi 10 novembre, une sélection de jeunes films algériens, en partenariat avec le Festival de Bejaïa. Il s’agit d’une journée de projection continue durant laquelle de jeunes cinéastes, producteurs algériens et français présentent leur film et échangent avec les autres cinéastes invités et le public présent.

Mercredi 7 novembre à 18h: Conférence – “Penser au son” écrit sur un post-it de Daniel Deshays, ingénieur du son et théoricien du son
dans le cadre du programme de conférence de la Villa Arson

À notre insu, le son travaille notre perception des images, il en est le convertisseur. Plus que porteur du sens, le son est un vecteur énergétique qui nous traverse, chargé de données issues du visible ou de l’invisible. Le son nous conduit vers les profondeurs …]

Mercredi 7 novembre à 20h: Rome plutôt que vous de Tariq Teguia (France/Algérie, 2006, 1h51) suivi d’un débat avec Tariq Teguia – animé par Philippe Azoury, journaliste

L’Algérie depuis 10 ans vit une guerre qui a causé plus de 100 000 morts, une guerre qui ne dit pas son nom. Dans Alger encore désolée par la guerre, Tariq Teguia met en scène Zina et Kamel qui arpentent encore une fois leur ville avant de (peut-être ?) la quitter.

Jeudi 8 novembre à 18h: Master Class de Tariq Teguia en dialogue avec Philippe Azoury avec des extraits issus de sa filmographie

Jeudi 8 novembre à 20h: Inland (Gabbla) de Tariq Teguia (France/Algérie, 2008, 2h20) Grand Prix et Prix d’interprétation féminine au Festival de Belfort suivi d’un débat avec Tariq Teguia, Daniel Deshays et Philippe Azoury

Alors qu’il vit en quasi reclus, Malek, un topographe d’une quarantaine d’années, accepte, sur l’insistance de son ami Lakhdar, une mission dans une région de l’Ouest algérien. Le bureau d’études oranais, pour lequel il travaillait il y a encore peu…

Avoir 20 ans dans les Aurès de René Vautier (France, 1972, 1h40)
Grand Prix de la Critique Internationale au Festival de Cannes 1972
présenté par Philippe Azoury

Un groupe de Bretons réfractaires et pacifistes est envoyé en Algérie. Ces êtres confrontés aux horreurs de la guerre deviennent peu à peu des machines à tuer. L’un d’entre eux ne l’acceptera pas et désertera en emmenant avec lui un prisonnier du FLN qui devait être […]

Demande à ton ombre de Lamine Ammar-Khodja (Fr., 2012, 1h22)
Prix du 1er film au FID Marseille 2012 – présenté par Philippe Azoury

Huit ans après voir quitté l’Algérie, son pays natal, pour la France, Lamine Ammar-Khodja décide de mettre fin à son exil le 6 janvier 2011, date du déclenchement des émeutes populaires à Alger. Organisé chronologiquement, le film se raconte

Samedi 10 novembre de 11h à 17h : Art session-Découverte du jeune cinéma des deux rives de la Méditerranée, ouverte à tous

Journée de projection continue et rencontre avec de jeunes cinéastes et producteurs algériens (Narimane Mari et Djamil Beloucif), français (Pierre Michelon et Natacha Cyrulnik) avec les rebonds du journaliste Philippe Azoury et de Geneviève Houssay, responsable du pôle cinéma audiovisuel du MUCEM – Musée des civilisations Euro-méditerranéennes – Marseille.

Nous, dehors de Bahïa Bencheikh El Fegoun et Meriem Achour Bouakkaz (Algérie, en développement) en présence de Narimane Mari, productrice du film

Un espace public masculin, des corps de femmes qui dérangent. Ni les hommes ni les femmes ne savent quoi faire de ce corps féminin, alors on le voile. Ce film est la rencontre de femmes en quête de sens, qui s’interrogent pour se confronter

Bir d’eau, a walkmovie de Djamil Beloucif (Algérie, 2010, 1h17)
en présence du cinéaste

Journée ordinaire d’une rue d’Alger où un film se fait et se défait sous le regard d’une caméra. Un portrait singulier, sincère et tendre d’Alger et de ses habitants. Un jeu entre fiction et réalité. Une interrogation sur la place de la caméra, sur la […]

Risacca non erra de Pierre Michelon (France, 2011, 52’)
en présence du cinéaste

Pas d’errance ou d’erreur dans le mouvement perpétuel des vagues, ni dans celui de leur ressac : Emigration ici et immigration là sont les deux faces indissociables d’une même réalité. Entre les rives de Nice et celles d’Annaba, Risacca non erra propose

Les Traces algériennes : Une partie de moi, d’autrefois de Natacha Cyrulnik (France, 2011, 32’) en présence de la cinéaste

Aborder l’Algérie quand on est en France, c’est parler du passé dans un quotidien. Dans le premier film de la série, nous abordons ce sujet à travers deux femmes. La première a quitté Alger en catastrophe à 10 ans, la deuxième a choisi de venir vivre en France

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