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23 novembre 2024

Le bonheur est sous les Bigaradiers à La Gaude : le top du Jazz national rencontre les plus talentueux musiciens azuréens

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Signe de son succès populaire avec la rencontre des « pointures » internationales et du meilleur du Jazz azuréen, Jazz sous les Bigaradiers propose plus de dix jours de concerts.


La Gaude est décidemment une terre d’évènements, et le « Jazz sous les Bigaradiers » reste un de ces rares moments où l’on peut encore assouvir ce plaisir de « vivre ensemble ».

Du frais, du neuf, et du convivial, avec en prime la remise des Trophées du Jazz de la Côte d’Azur.

Jazz sous les Bigaradiers 19ème édition ce sont 20 orchestres, 100 musiciens: des pointures internationales, comme le trompettiste Italien Enrico Rava et le batteur Américain Sangoma Everett, rencontrent le meilleur du Jazz national, avec la trompettiste Airelle Besson et le guitariste Nelson Veras, et les plus talentueux azuréens avec entre autres le quartet de Pierre Marcus et la Compagnie So What.

Vendredi 13 novembre à 21 h, ce sera la soirée de gala à salle de La Coupole avec le New Jungle Orchestra Danois de Pierre Dørge et en première partie la Compagnie So What

Le New Jungle Orchestra de Pierre Dørge est Danois. Voici 35 ans qu’il voyage dans plus de 50 pays en jouant plus de 1 000 concerts. Ses musiciens donnent au public une expérience unique et extraordinaire.

La Compagnie So What pratique depuis plus de vingt ans un Jazz inventif et gai pour faire plaisir à l’oreille. Le septet a fait en 2015 une tournée en Allemagne et en Italie et produit un 7° CD : Zingara.

Samedi 14 novembre à 21h, soirée de Gala, toujours salle de La Coupole avec Airelle Besson et Nelson Veras/ Enrico Rava ainsi que le trio de Sangoma Everett

Airelle Besson et Nelson Veras, avec des compositions ou standards de jazz, ils se produisent dans les meilleurs festivals européens et jouent un dialogue poétique entre guitare et trompette.

Enrico Rava et le trio de Sangoma Everett: à 18 ans, un concert de Miles Davis à Turin le convainc de se consacrer à la trompette. Dans les années 1960, son horizon s’élargit à l’Argentine puis à New York. Plusieurs fois élu « meilleur musicien » et « meilleur album» par « Musica Jazz », il jouera en quartet avec l’immense batteur américain Sangoma Everett qui, de clubs en festivals, parcourt sans relâche la planète.

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