La compagnie niçoise Gorgomar a été sélectionnée par la Maison du Théâtre pour enfants pour jouer sa pièce « La grosse Patate » lors du prochain Festival d’Avignon. Ils comptent sur vous pour les aider dans cette belle aventure humaine.
Ce spectacle, coproduit par le Théâtre National de Nice, sera un des rares représentants de la scène théâtrale niçoise. Mais, pour faire face aux nombreux frais inhérents à la présence de la troupe niçoise à Avignon, la compagnie a lancé une grande souscription.
Si vous aussi vous souhaitez aider cette jeune compagnie niçoise à faire briller les couleurs niçoises sur les planches d’Avignon, n’hésitez pas à cliquez sur le lien suivant : https://www.kisskissbankbank.com/le-journal-de-grosse-patate-avignon-off-2014–2?ref=recent
L’Histoire de Grosse Patate
«Grosse Patate c’est le surnom qu’on lui donne à l’école parce qu’elle mange tout le temps. Elle, elle sait qu’elle est ronde et douce . Dans sa classe il y a Rosemarie la timide, Rémi son souffre douleur, trouillard comme une fille, et Hubert dont tout le monde est amoureux. Grosse Patate raconte dans son journal la tristesse , le bonheur, les interrogations d’une petite fille qui essaie de comprendre le monde. Un texte qui parle de l’amitié, l’amour, le deuil, la différence dans une langue drôle et inventive. Entrecoupé de « rêves », Le Journal de Grosse Patate de Dominique Richard avance par fragments, scènes de vie (de classe, de jeu, de groupe) où prennent place les premières amitiés, les premières amours, les rejets et trahisons qui les accompagnent.»
La mise en scène
La mise en scène est centrée sur la chambre de Grosse Patate. La chambre est composée d’un lit en hauteur dans lequel s’incrustent trois tables gigognes aux couleurs vives ; elles font office de boîte à joujoux avec leurs tiroirs et coffres d’où sortiront les accessoires. Se séparant du lit, les tables vont servir tour à tour, de table de cuisine, de pupitre, de refuge, d’escaliers. Le metteur en scène choisit trois niveaux de jeu pour adapter le journal à la scène : le récit de Grosse Patate, le dialogue paradoxal avec Rémi, rôle muet et des marionnettes-poupées qui représentent la copine Rosemarie et le bellâtre Hubert. Ces scènes sont métronomiquement coupées, comme dans le texte, par des interludes qui représentent les rêves de Grosse Patate hantés par l’homme en noir.
L’équipe :
Avec : Aurélie Péglion / Emma Laurent
Mise en scène : Thomas Garcia / Aurélie Péglion
Musique/Vidéo : Thomas Garcia
Scénographie / Création lumière : Philippe Maurin
Régisseur : Antoine Hansberger
Construction marionnettes : Charlotte Libeau
Costumes : Emilie Bouneau
Origami : Antoine Saglier
Professeur de danse : Johanna Autran
Photos : Fred De Faverney / Jean-Michel Goujon / Rémy Saglier.
Affiche : Melissa Waucquier
pour plus d’informations : www.gorgomar.org