Un jeudi par mois, dans une ambiance de salon littéraire, l’écrivain Aurélie de Gubernatis, organise et anime les Jeudis littéraires afin d’offrir un moment de partage entre le public, les écrivains et leur œuvre. David Foenkinos, Eric Giacometti, Gonzague Saint Bris, Frédéric Beigbeder, Delphine de Vigan, Daniel Pennac, Laurent Gaudé, Frédéric d’Onaglia ; Didier van Cauwelaert, Laurent Seksik, Bernard Deloupy… des écrivains prestigieux sont déjà venus présenter leur actualité.
Bibliothèque Louis Nucéra – à 18h – Entrée libre dans la limite des places disponibles
Aurélie de Gubernatis reçoit Mireille CALMEL à propos de son roman « La Prisonnière du diable » paru chez XO éditions
Mireille Calmel. Née en 1964, elle est aujourd’hui l’une des grandes figures du roman historique. Du Lit d’Aliénor à La Fille des Templiers, ses livres aux héroïnes entières, fières et courageuses, connaissent un immense succès. Vendus à trois millions d’exemplaires, ils sont traduits dans 15 langues. Mireille Calmel vit en Aquitaine.
Mai 1494, en Égypte.
Une roue de pierre tourne, gardée par un ordre secret. Lorsqu’elle s’arrête, le nom de celui qui doit mourir apparaît sur la tranche. Celui dont le diable s’est emparé et qui sera exécuté par l’Ordre. La volonté de Dieu…
Juin 1494, à Utelle, sur les hauteurs de Nice. Hersande règne sur le sanctuaire de Notre-Dame. Elle reçoit enfin le billet délivré par la roue. Mais lorsqu’elle lit le message, elle vacille. Jamais ce nom n’aurait dû apparaître…
Un thriller médiéval vertigineux, dans les flammes de l’enfer.
« Le livre commence par une roue de pierre. Une roue cachée depuis la nuit des temps. Une roue qui tourne continuellement. Toutes les cultures l’évoquent avec parfois quelques variantes. […] Ce que je peux dire d’après mes recherches, c’est que cette roue divine n’appartiendrait à aucune religion, qu’elle serait gardée par des femmes et que parfois sur sa tranche s’inscrirait un nom, une date, un lieu. Le nom de la personne qui doit mourir ! […] Et que le 23 juin 1494, le diable a décidé d’apparaître à Utelle, sur les hauteurs de Nice ».