Aurélie de Gubernatis reçoit Mireille Calmel à propos de son roman La Fille des Templiers paru aux éditions XO
Le Livre : Un bûcher, un trésor caché, une héroïne fascinante.
19 mars 1314, Jacques de Molay, le dernier grand maître de l’ordre du Temple, est brûlé en place publique. Il a été condamné par le roi Philippe le Bel qui reproche aux Templiers de dissimuler un fabuleux trésor.
Mais le jour du supplice, une colombe dépose un message entre les mains du souverain. C’est la malédiction, terrible : le roi et ses fils paieront pour ce crime !
Huit ans plus tard…
15 juillet 1322. Une jeune paysanne, Flore Dupin, est pourchassée par les soldats de
Charles IV. Quel secret détient-elle ? Qu’a-t-elle à voir avec l’ordre du Temple ?
Un homme lui confie : « Avant de mourir, le roi a prononcé ton nom ! »
Une confrérie mystérieuse, des femmes de courage, des rois maudits, avec ce vingtième roman, Mireille Calmel signe un roman d’aventure fascinant.
Mireille Calmel a l’habitude de dire que l’écriture lui a sauvé la vie. Car lorsque,
à l’âge de 8 ans, elle tombe gravement malade et est déclarée perdue, elle commence à écrire, par besoin d’extérioriser sa peur, mais aussi parce qu’elle croit profondément que tant qu’elle s’exprimera ainsi, elle ne mourra pas.
À quinze ans lorsqu’elle retrouve une vie normale, Mireille ne pense plus qu’à écrire.
En 1995, elle commence ce qui deviendra Le Lit d’Aliénor et c’est le succès : plus de
800 000 exemplaires vendus en France.
Depuis, tous ses romans : Le Lit d’Aliénor, Le Bal des louves, Lady Pirate, Le Chant
des sorcières, La Reine de lumière, Aliénor, Un dernier baiser avant le silence… et dernièrement Les lionnes de Venise connaissent le même succès.