Qui dit mercredi dit cinéma. Nous vous proposons aujourd’hui notre sélection de films de la semaine, de quoi vous guider au mieux dans les salles obscures.
1. Beau is afraid de Ari Aster
Après Hérédité et Midsommar, le réalisateur américain, propose un film tragi-comique. Ari Aster joue moins sur l’horreur, cependant, l’angoisse, elle, ne quitte pas l’atmosphère de l’histoire. Le long-métrage suit l’épopée de Beau, incarné par l’acteur oscarisé, Joaquin Phoenix. L’homme âgé décide à la hâte de rejoindre sa mère. Mais l’univers va lui jouer bien des tours, rendant son aventure désespérément compliquée. Une mésaventure qui prend vite les allures d’un long cauchemar oppressant.
2. Le jeune imam de Kim Chapiron
Ali a 14 ans quand sa mère décide de l’envoyer dans son village natal au Mali. L’adolescent finit son éducation et rentre en France dix ans plus tard. Il doit alors trouver un travail. Sa formation en islamologie et en théologie, et sa foi le conduisent à devenir imam. Malgré les doutes de son entourage, il devient imam de la cité et s’impose en figure de leader. Adulé de tous et poussé par ses succès, Ali décide d’aller plus loin et d’entreprendre de réaliser le rêve de tout fidèle : accomplir son pèlerinage à la Mecque.
3. Misanthrope de Damián Szifron
Shailene Woodley, l’actrice héroïne de Divergente, prête ses traits à Eleanor, une jeune enquêtrice, au lourd passé. Lorsqu’un mystérieux tireur commet un crime de masse terrible, elle est appelée sur les lieux. La police et le FBI lancent une chasse à l’homme sans précédent, mais l’assassin est loin d’être simple à attraper. Son mode opératoire imprévisible ne facilite pas la tâche des forces de l’ordre. Alors, Eleanor va essayer de comprendre quel est le profil de ce tueur en série, en puisant dans ses propres démons.
4. Hokusai de Hajime Hashimoto
Le film retrace l’ascension de l’illustre peintre, dessinateur et graveur japonais qui se cache derrière la Grande vague de Kanagawa. Retour à ses débuts, au Japon, au 18e siècle, où il n’est encore qu’un étudiant au nom de Shunrô. Son caractère impétueux et son style qui sort du moule, ne passent pas dans l’école Katsukawa, où il est jeune apprenti. Il est exclu alors le même que le pouvoir impérial impose sa censure sur les artistes. Son chemin va croiser celui de personnes qui croient en lui, et en son talent, de quoi changer une destinée.
5. Notre tout petit petit mariage de Frédéric Quiring
Lou et Max vont se marier. Ils se font la promesse d’organiser un mariage intimiste : ils seront quatre, eux et leurs deux témoins. De concessions en concessions, la liste d’invités s’allonge dangereusement. Et, c’est sans compter, sur la fête surprise qui leur est organisée. Eux, qui rêvaient d’un tout petit petit mariage, vont se retrouver au beau milieu de 300 invités pas prévus au programme. C’est alors que la situation va rapidement dégénérer.
