Au fait Jacky Tomtom, c’est le chanteur de 80 balais qu’interprète Tex : il pique les chansons des autres et change les paroles. Par exemple ? » L’important c’est l’arthrose l’important ! » ou » Laisse les béquilles à Denise » ou bien encore un spécial Johnny avec comme titre d’album » Hospice 2000″ ! Allez, on entre dans la ville de Tex ? Et vous savez quoi ? Nous avons l’honneur d’avoir comme guide Tex en personne !
N-P : Bonjour Tex. Merci de nous accueillir dans votre ville. Pouvez-vous la décrire l’entrée à nos internautes ?
Tex : Et bien, à l’entrée, j’accueille les gens. Je leur parle. Je leur dis qu’ils ne sont pas à la télévision et que ce qu’ils vont voir peut les surprendre à l’intérieur de cette ville. Et on fait un petit bilan sur ce qui ne va pas. Et puis, voilà on est dans ma ville.
N-P : On part vers où. Vers la gauche, vers la droite ?
Tex : Qu’on parte vers la gauche ou vers la droite, il y aura toujours des paysans. Puis on rencontre un personnage un peu vieilli. C’est un chanteur pour les maisons de retraite. Puis, je reviens parler aux gens. Il n’y a pas que du stand up ou des personnages. Et, je reviens avec des sketchs. Je les amène dans les ruelles tortueuses de ma ville ou dans les boulevards.
N-P : Y a t il un théâtre dans votre ville ?
Tex : Oui, à chaque angle, il y en a un. Car on y rencontre des personnages de théâtre.
N-P : Et qu’est ce qu’on y joue ?
Tex : La comédie humaine. La divina comedia !
N-P : Y a t il de la télévision ?
Tex : Un petit peu, mais pas beaucoup. Mais dans ma vie, bien sûr, il y en a. La moitié du temps, c’est la télé. Et l’autre j’aimerais que ce soit du spectacle.
N-P : Vous souvenez vous de votre premier passage à la télévision ?
Tex : Oui, c’est très vieux ! C’était un reportage fait par France 3 sur notre petite troupe de théâtre qu’on avait en Provence.
N-P : Qu’est ce qui vous a amené à la télé ?
Tex : Je voulais voir le grand prix de formule 1. Et sur place, il y a une dame qui m’a demandé si je ne voulais pas faire un casting pour la télévision. Moi, j’ai répondu que je préfèrerais faire de la radio. Alors, j’ai fait de casting : radio et télé. Et j’ai été pris à la télé ! Ils ont pris 15 animateurs radio dont mon ami Galibert avec qui je travaille encore aujourd’hui, on s’est retrouvé sur le chemin. Et un animateur télé, et c’était moi.
N-P : Vous avez tout de même réussi à entrer dans le monde de la radio ?
Tex : Je suis d’abord rentré dans le monde du manshow avec les théâtres, les cafés théâtres, les festivals, puis je me suis fait remarquer dans La Classe. Et j’ai eu des propositions pour travailler à la radio. Radio France, France Bleu, des radios suisses, des radios belges. A la rentrée, je serais sur une nouvelle radio belge.
N-P : Radio ou télé ?
Tex : Ce sont des produits différents. On peut faire plus de choses à la radio. On a moins droit à l’erreur à la télévision. A la télévision, c’est sanction direct. On peut disparaitre derrière des personnages à la radio, car à la télé, c’était toujours votre visage qui revient. Pendant quelques années, j’ai fait une antillaise sur les ondes. RFO a voulu voir un jour qui se cachait derrière. C’est un mec ! Surprise !
N-P : on revient dans votre ville. De quels couleurs sont les murs ?
Tex : Rouge parce qu’il y a de la colère et de l’énergie. Mais, il y a surtout du bleu, car c’est gai et c’est la couleur des vacances, surtout aussi. Il y a aussi du noir pour le cadre de la scène.
N-P : Du vert ?
Tex : Non, il n’y a pas beaucoup de verdure, parce que ce n’est pas une couleur qui est une couleur maudite pour monter sur scène. Sinon, il y a tout ce qu’on veut.
N-P : Un restaurant ?
Tex : Oui ! Des restaurants. Il y a la fête !
N-P : Allez on commande un plat ?
Tex : Un tartare de boeuf.
N-P : Un dessert ?
Tex : Un tiramisu, surtout ici pas loin de l’Italie.
N-P: Et pour accompagner le tout, une chanson ?
Tex : Du rock n’roll, avec Genesis !
Site Internet : www.tex-comic.com/
Site Internet : https://www.ville-contes.fr/
