Dans la continuité du succès constant du festival d’été- le Saint Jazz Cap Ferrat depuis 5 ans – Pepita Musiques & Cultures et la ville ont déjà été des pionniers par la création de la première programmation régulière hivernale de jazz sur la Côte d’Azur.
Un vendredi par mois, -jusqu’en mai compris- la salle Charlie Chaplin se métamorphosera en un club de jazz très cosy.
En 2017, Pepita Musiques & Cultures sera encore à la pointe de l’innovation culturelle car il va proposer une première rencontre informelle et conviviale entre le jazz et la littérature avant le concert de 21h.
Pour cet événement, il va s’appuyer sur un éditeur de la région, « Le Mot et le Reste » (Marseille), spécialiste reconnu pour ses ouvrages autour des différents courants de la musique, et l’un des ses auteurs, Maxime Delcourt, pour évoquer ce qu’est le « free jazz »
Journaliste culturel indépendant, notamment pour Les Inrockuptibles, New Noise, Slate, Noisey et So Foot. Maxime Delcourt est également l’auteur de trois ouvrages chez Le Mot et le Reste, Free jazz, Il y a des années où on l’on a envie de rien faire. 1967-1981 chansons expérimentales et 2Pac, Me Against The World.
Free Jazz dresse en soixante portraits le paysage mondial du free jazz de 1959 à nos jours, à travers des figures telles que Ornette Coleman, Archie Shepp, Sun Ra, Albert Ayler, Peter Brötzmann, Masayuki Takayanagi, Matana Roberts ou encore Kamasi Washington.
Une façon de revenir sur l’émergence du free jazz, ses liens avec le mouvement des droits civiques dans les années 1960, son ancrage en Europe, son déclin dans les 80’s et son effervescence nouvelle ces dernières années.