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21 novembre 2024

Retour en images du Nice Jazz Fest’ 2024

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L’édition 2024 s’est achevée hier. Replongez jeudi dernier, 22 août, pour une journée mémorable où jazz, groove et fusion se sont succédé pour envoûter le public.

Le Nice Jazz Fest’ a une fois de plus démontré sa capacité à rassembler des talents venus des horizons les plus divers. Du groove captivant d’Arnaud Dolmen & Le Vitygroove à la légende du piano Monty Alexander, en passant par l’énergie détonante du groupe Phoenix, la scène du festival a vibré au rythme de performances qui ont conquis le cœur des spectateurs. Retour en images sur cette journée inoubliable du jeudi 22 août 2024.

Arnaud Dolmen & Le Vitygroove : une ouverture rythmée et envoûtante

La journée a débuté avec Arnaud Dolmen & Le Vitygroove, un collectif qui mêle habilement jazz, gwo ka et rythmes caribéens. Dès les premières notes, Arnaud Dolmen, à la batterie, a installé une atmosphère à la fois intense et relaxante. Le groove contagieux de son groupe a rapidement emporté le public, qui s’est laissé porter par cette fusion musicale unique. Leur performance a été un véritable voyage sonore, où les rythmes traditionnels ont rencontré des harmonies modernes pour un résultat des plus captivants.

Monty Alexander : la légende du jazz caribéen en pleine forme

Le pianiste adulé, Monty Alexander, a ensuite pris la scène du Théâtre de Verdure, apportant avec lui toute la richesse de ses influences caribéennes. Sa maîtrise du piano, combinée à une énergie débordante, a offert un moment de pur jazz. Ainsi, l’on pouvait ressentir à chaque note la chaleur, la passion et la légèreté de son jeu. Monty Alexander, fidèle à sa réputation, a su créer une connexion profonde avec le public, resté suspendu à ses doigts dansant sur le clavier. Une performance à la fois technique et émotive qui a rappelé pourquoi il est une figure incontournable du jazz international. Le show s’est terminé sous l’ovation du public.

Phoenix : une clôture énergique et électrisante

Enfin, pour clore cette journée déjà riche en émotions, le groupe Phoenix est monté sur scène, à Massena. Ils ont apporté avec eux une vague d’énergie rock et électro qui a littéralement électrisé le public. Avec leur style inimitable, Phoenix a transformé la scène du Nice Jazz Fest’ en une véritable fête. Leurs morceaux phares, réinterprétés avec une touche live irrésistible, ont fait vibrer les spectateurs, et l’ambiance s’est rapidement enflammée. Leur performance aura donc prouvé que le jazz, dans toute sa diversité, peut se marier parfaitement avec des sonorités modernes et innovantes. Et puis, Thomas Mars aura même passé une partie du show… porté par le public.

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