Succès sans précédent pour cet événement culturel estival rendant hommage à l’un des maîtres de la peinture du XXème siècle comptabilise un nombre d’entrées record de 281.306 visiteurs !!
Cet événement exceptionnel a donné lieu à une fréquentation elle-même exceptionnelle. Cette affluence a généré plus de 915 000 euros de recettes de billetterie. Grâce à ce palmarès, « Nice 2013. Un été pour Matisse » se hisse en tête du classement des expositions estivales de la région.
Après plusieurs mois de préparatifs, il restait encore à savoir si cette exposition démultipliée allait « marcher » comme on dit, si elle allait toucher le cœur et l’œil du public. Bref, si elle allait passionner.
Et bien le succès a été sans précédent.
Pour porter ces expositions au plus haut niveau de qualité, la Ville a fait appel à un commissaire général d’exception, Jean-Jacques Aillagon, ancien ministre de la Culture, ancien président du Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou, il y a peu encore président de l’Etablissement Public du musée et du domaine national du Château de Versailles.
Son rôle a été décisif dans la définition du thème des expositions et l’obtention des prêts les plus prestigieux dont la « Tristesse du Roi », que le Centre Georges Pompidou n’avait jamais prêté à aucun musée.
Un Eté pour Matisse a été une exposition au concept novateur, remarquablement orchestrée, une exposition que le public plébiscite.
Pour Christian Estrosi, maire de Nice: « Sur la carte du monde, force est de constater que les villes qui gagnent sont les villes créatives. Cet « Eté pour Matisse » nous rend digne de figurer dans ce club très fermé de ces métropoles créatives.
Notre ville bénéficie d’un passé culturel riche et diversifié se traduisant par un nombre important de musées et de galeries, avec une offre particulièrement large mêlant art ancien, moderne et contemporain, photographie, sciences, archéologie.
Nos collections possèdent des trésors comme la « Crucifixion » du Bronzino ou la collection Dufy du musée des Beaux-arts, la collection Matisse, l’ensemble des œuvres d’Yves Klein et de Niki de Saint-Phalle au MAMAC, les collections d’instruments de musique du palais Lascaris, l’ensemble d’art décoratif du musée Masséna, le fonds Charles Nègre du Théâtre de la photographie et de l’image, des sites archéologiques et préhistoriques de tout premier plan à Cimiez et à Terra Amata et l’exceptionnelle collection du muséum d’histoire naturelle ».
« Alors que le musée Matisse de Cimiez célèbre son cinquantenaire, à l’issue de cet été particulier, Matisse est devenu définitivement et pour le monde entier, le peintre génial de notre ville », a-t-il-conclut..