Pendant trois semaines, jusqu’ au 16 octobre, le Festival de la Photographie Méditerranéenne a lieu et offre au public un panorama étendu des approches photographiques d’aujourd’hui.
Des vernissages, expositions, projections, conférences et ateliers sont attendus dans huit villes azuréennes
Présidé par Robert Matthey, photographe niçois. L’association Sept Off fête son 18 ème anniversaire. Sept Off est une association qui perpétue à promouvoir la photographie locale, afin, de faire connaître ses artistes vers la scène nationale.
Ce week-end était celui d’ouverture, une exposition collective au Campus Saint-Jean d’Angely avec plusieurs photographes a lieu.
Cinq thèmes sont attendus. In situ, André Villers, De spiritus … Vous avez dit « photographie » ? & Droit d’inventaire.
Paysages urbains, naturels, phrases explicatives, vides d’humains et d’activités… En voulant montrer un effet cartes postales, les photographes Alexis Manchion et Olivia Borh souhaitent faire passer un message, « montrer l’évolution des villes » et la « face cachée de la ville ». Une impression de nostalgie.
Sur un autre mur, c’est un thème totalement différent « La hora de la Verdad ». Julie Hascoët, photographe, a voulu montrer une approche différente de la « Corrida » en nous emmenant dans les coulisses de l’univers de l’arène. Une approche plutôt poétique et sensible.
Adelap, présente une cartographie de la France des routes. Elle veut représenter une vision poétique et sensible des paysages routiers de France.
Sandra MEHL a choisi un registre encore différent. La plage. Sa série « P.S je t’écris de la plage des mouettes » représente bien son titre. Des photographies de pécheurs, d’humains sur la plage. Des photographies prises chaque été entre 2012 et 2015. L’approche documentaire est évidente.
Jef BONIFACINO a effectué des photographies de la ville de Vorkouta en Russie. Montrer le quotidien rude et âpre des habitants de cette ancienne cité minière.