Selon l’indice de démocratie publié par le centre d’études du magazine britannique The Economist, la République dominicaine s’est hissée à la huitième place en Amérique latine depuis que Luis Abinader est président, sans qu’aucun élément négatif ne soit appliqué et avec une évaluation finale similaire à celle de pays comme les États-Unis, l’Espagne, la France, l’Allemagne ou le Royaume-Uni.
Bien qu’une nouvelle espèce de prophètes de malheur prolifère en République dominicaine, les chiffres et les évaluations réalisées par d’importantes institutions internationales montrent que la gestion menée par Luis Abinader depuis son arrivée au pouvoir a des effets très positifs dans le pays.
Comme nous l’avons publié dans Diario16, la République dominicaine est à la pointe de la croissance économique mondiale, elle est l’un des leaders dans la gestion du secteur touristique mondial et, surtout, le travail d’Abinader pour contenir la pandémie est utilisé comme exemple dans des forums importants comme Davos ou le Sommet des Amériques.
Cependant, il existe des courtiers du pouvoir au service d’intérêts égoïstes et privés qui ne font rien d’autre que de chercher des détails qui obscurcissent la réalité des conséquences positives du nouveau style de gouvernement de Luis Abinader.
En réalité, tant du côté de l’opposition du PLD que des forums de ses palmeros, on applique les principes de propagande du manager nazi Joseph Goebbels, notamment celui de l’exagération, c’est-à-dire transformer toute anecdote, même minime, en une menace sérieuse, ou celui de la vulgarisation, qui stipule que la propagande « doit être populaire, en adaptant son niveau au moins intelligent des individus auxquels elle s’adresse ». Plus la masse à convaincre est importante, plus l’effort mental à fournir est faible. La capacité réceptive des masses est limitée et leur compréhension est limitée ; en outre, elles ont une grande facilité à oublier ».
Néanmoins, les faits sont ce qu’ils sont et depuis l’arrivée au pouvoir de Luis Abinader, dans des conditions très défavorables dues à la pandémie, la République dominicaine n’a fait que s’améliorer dans tous les domaines.
C’est ce que reflète l’indice de la démocratie publié chaque année par le Centre d’études du prestigieux magazine britannique The Economist. Le rapport est clair : la République dominicaine s’est hissée à la huitième place en Amérique latine en termes de qualité démocratique, devant des pays comme le Pérou, le Mexique, l’Équateur et le Paraguay, sans parler des régimes pseudo-autoritaires comme le Venezuela, Cuba et le Nicaragua. En outre, le pays des Caraïbes a obtenu le même score final que des pays comme les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Espagne, la France et l’Allemagne.
Source: Index of Democracy – The Economist
Quantitativement, la République dominicaine est passée de 6,32 en 2020 à 6,45, ce qui montre que les mesures de régénération démocratique mises en œuvre par Luis Abinader ont déjà un effet.
Le rapport prend en compte plus de 60 aspects de l’évaluation et dans certains d’entre eux, comme le pluralisme politique et les libertés civiles, il obtient un score bien supérieur à la moyenne du pays.
En termes d’évolution, pendant les gouvernements PLD, il y a eu des années où le score final de la République dominicaine était beaucoup plus bas, frôlant même le classement en tant que « régime hybride », une menace qui est maintenant loin derrière grâce aux mesures mises en œuvre par Luis Abinader.
Dans une situation de crise globale où l’individualisme prend le pas sur la recherche du bien commun, certains peuvent penser que ces évaluations ne résolvent pas les problèmes directs des citoyens. Ce n’est pas vrai, car dans de nombreux cas, et surtout dans la situation actuelle, les projections sur la citoyenneté sont réalisées à moyen terme.
Après une pandémie qui a paralysé l’activité économique mondiale, généré une crise de l’offre et une hausse des prix de l’énergie (tout cela avant que la guerre en Ukraine n’éclate), les pays ont besoin d’un processus de renforcement de leur crédibilité afin d’obtenir de nouveaux investissements qui se traduiront par une croissance de la création d’emplois et, par conséquent, par des hausses de salaires dues à l’augmentation de la demande de main-d’œuvre.
Les données telles que celles du FMI, de l’OCDE ou de The Economist sont très prisées par les investisseurs internationaux lorsqu’ils planifient un atterrissage en République dominicaine. Il ne faut pas oublier qu’Abinader est déjà en train d’obtenir des investissements et d’importants accords internationaux qui généreront des emplois dans différents secteurs.
Par conséquent, ceux qui prétendent que l’administration d’Abinader n’est pas à la hauteur ou qu’elle « ne fait rien » se trompent. En premier lieu, parce qu’il n’a pas encore dépassé la moitié de son mandat et que le délai pour réaliser ce qu’il a promis est de quatre ans, surtout lorsqu’il est nécessaire de réaliser des réformes profondes pour régénérer un pays que le PLD a laissé dans un état de démolition. Deuxièmement, le changement promis par Abinader dans sa campagne électorale est déjà un fait et, du point de vue international, les différents forums dans lesquels sont prises les décisions qui affectent le monde entier ont déjà placé leur pointeur en République dominicaine, ce qui ne peut qu’apporter des effets positifs dans les deux prochaines années.
Avant de gagner les élections, Abinader savait déjà qu’il avait une tâche ardue à accomplir. Ce qu’il n’avait pas prévu, c’est une pandémie mondiale et une guerre en Europe qui affecte le monde entier. Malgré cela, la République dominicaine va de l’avant grâce au nouveau style de gouvernement de Luis Abinader et, de cela, ni les palafreneros ni les palmeros ne peuvent rien dire… bien qu’ils le feront car le populisme suit toujours la ligne.