Les mesures annoncées ce lundi soir par Emmanuel Macron coûteront à l’État entre 8 et 10 milliards d’euros.
» Nous sommes de voir aussi comment nous allons le financer », a-t-il déclaré Olivier Dussopt , secrétaire d’Etat aux comptes publics.
Et oui, comme le rappelait le Prix Nobel de l’Economie Milton Friedman: » Non free lunch ». Pas besoin de la traduction, pour comprendre que quelqu’un doit mettre main au portefeuille.
De plus, la Banque de France a annoncé sa prévision pour la croissance dans le 4è trimestre: elle coupée en deux, de 0,4% à 0,2% à cause des grèves et agitations qui ont perturbé l’activité productive et le commerce.
La France n’a pas beaucoup de marge par rapport à ses engagements avec la Commission Européenne: après avoir ramené son déficit sous la barre de 3% en 2018, à 2,6%, elle a prévu un hausse temporaire ,pour des raisons techniques, à 2,8 % en 2019.