Le Centre Universitaire Méditerranéen a accueilli, pendant deux jours, plusieurs représentants et élus des communes et régions italiennes et monégasque.
« Nous devons entrer concrètement dans l’histoire de l’Europe ! » déclare Philippe Pradal lors de son discours d’ouvertures des journées européennes transfrontalière.
L’objectif est simple. Nice, stratégiquement placée de par ses deux frontières avec l’Italie et Monaco, veut intensifier ses relations avec « ses voisins ». Et les enjeux sont de tailles puisqu’ils portent sur l’économique, l’environnement et le social.
Le positionnement de la Métropole Nice Côte d’Azur va permettre à des acteurs publiques et privées de se développer et créer de l’emploi et développer l’économie de la région.
Mais la Métropole compte sur un secteur en particulier pour convaincre ses voisins d’accroître leurs coopérations. En effet, lors de cette ouverture de ces journées transfrontalières, la ville va présenter ses projets « d’innovation » en matières technologique. Tels que les programmes européens ALCOTRA et MARITTIMO.
Il faut savoir que la plaine du Var est à un niveau international en ce qui concerne l’innovation, notamment avec ce grand projet de construction d’un campus universitaire qui se présentera comme « une ville intelligente » dans l’Eco-vallée.
Le Maire a également insisté sur le fait que « les actions à mener conjointement dans les domaines de l’innovation, la santé, l’itinérance touristique et les risques naturels (projet MARITTIMO) … entraîneront des réalisations très concrètes ! »
C’est donc deux journées très chargées qui s’annoncent , afin de « construire un avenir moderne et déboucher sur du concret »