On le sait, les relations entre la presse et les clubs de football sont souvent liées aux résultats de ce dernier et l’incident survenu, il y a queqlues jours, entre une radio locale et la maison rouge et noire sera, sans doute, a ranger dans ce cas là.
L’étincelle née entre Frédéric Antonetti, le coach de l’OGC Nice, et l’un des journalistes de cette radio locale aurait certainement du n’en rester qu’une mais l’histoire en a voulu autrement puisque l’Union Syndicale des Journalistes Sportifs de France a été interpellée réagissant même dans les colonnes de Nice-Matin du 13 octobre dernier.
Suite à ces réactions l’OGC Nice a fait paraître sur son site un droit de réponse et Nice Première a tenu a en savoir un peu plus en rencontrant Virginie Rossetti, responsable communication du club, qui nous donne sa version des faits.
Nice Première : Virginie, pouvez-vous nous expliquer les raisons de l’orage entre certains journalistes locaux et l’OGC Nice ?
Virginie Rossetti : On ne va pas parler d’orage…la situation un peu tendue du moment est simplement due aux résultats un peu poussifs de l’équipe…mais je suis persuadée que dès l’enchaînement de quelques victoires, tous les voyants seront au beau fixe…les humeurs des uns et des autres aussi.
NP : C’est la première fois qu’un tel incident se produit dans la maison rouge et noire ?
VR : Non, ce n’est pas la première fois que les résultats provoquent des tensions et donc des débordements, comme de partout je pense…à partir du moment où des êtres humains collaborent, d’autant plus dans un milieu où la pression est omniprésente.
NP : Quel a été la réaction de Frédéric Antonetti à ce sujet ?
VR : Je pense que ça ne l’amuse pas de se disputer avec tel ou tel journaliste…c’est quelqu’un de très entier qui se donne à fond pour le Club et qui donc s’est senti blessé par certaines attaques.
NP : Quelle est donc la marche à suivre pour obtenir une interview ou faire un papier sur le club ?
VR : A chaque entraînement, la démarche n’a pas changé, les joueurs et le staff sont toujours très accessibles et répondent en direct sans démarche préalable à suivre. En revanche, pour tout plateau télé ou émission de radio, la Presse se doit de faire la demande au service Communication,ce qui entre nous n’a rien de choquant.
NP : Et enfin, quel serait votre mot de la fin sur cet incident ?
VR : Tâchons de nous concentrer sur le football et ne pas entrer dans une polémique inutile…
