Après que Anticor a ouvert la voie, suivie puis Christian Estrosi et Olivier Bettati, Patrick Allemand ne pouvait légitimement renoncer à présenter « sa » charte.
Appelée « charte de gouvernance », elle n’est qu’une autre version d’une charte éthique : Son but est, comme les autres, de se positionner plus dans le domaine de la communication que dans celui de la morale.
Mais, laissons la parole à Patrick Allemand, tête de liste de « Un autre avenir pour Nice » : » Nous nous engageons, en signant cette charte, à redonner du sens à l’action politique locale, promouvoir l’exemplarité des élus, restaurer la confiance des citoyens pas la transparence; démocratiser la gouvernance de la ville et instaurer une véritable démocratie participative ».
Un nombre important de mesure sont déclinées dans ce document présenté à la presse et signé par l’ensemble des leaders de la liste. Un document qui devrait servir de garde-fou en cas de dérapage.
Mais, la question reste simple : Les comportements de différents acteurs seront-ils à la hauteur des promesses signées ?