A l’issue de sa cinquième et dernière Convention municipale, ayant rassemblé 80 personnes dans les locaux de campagne du quartier du Port, Philippe Vardon a présenté ses 3 propositions phares pour une « Nice proche » :
Instauration d’un référendum d’initiative citoyenne local pouvant être déclenché à partir de la signature de 10% des électeurs niçois.
Il a ainsi affirmé que « la démocratie locale, ça ne peut pas être que tous les 6 ans », prenant notamment l’exemple du projet de destruction d’Acropolis et du Théâtre National qui serait « massivement rejeté par les Niçois, si on leur demandait leur avis ».
Création d’un poste d’élu délégué à la protection animale. Inclusion de la protection animale dans la politique de la ville, notamment dans les critères d’attribution des marchés publics.
Il a aussi évoqué des actions concrètes, telles que le refus de l’installation de cirques avec des animaux sauvages sur la commune, l’ouverture d’un parc canin dans le centre ou encore la suppression des aliments issus de l’agriculture intensive et de l’abattage sans étourdissement dans les cantines de la Ville.
Désignation d’un élu de l’opposition à la présidence de la commission Vie associative parce que les associations aidées doivent l’être au nom de l’intérêt général et pas de leur proximité politique.
Philippe Vardon a longuement insisté sur la question associative, déclarant notamment que « les associations doivent être soutenues parce qu’elles aident les Niçois, pas parce qu’elles aident le maire à être réélu ». Il a qualifié même la proposition de « mesure d’hygiène budgétaire et démocratique au vu du degré de clientélisme atteint ces dernières années ».