Nouveau venu en politique, Christophe Trojani , 47 ans, chirurgien et villefranchois de souche, vise la place de premier édile. Il n’est pas du sérail, mais fortement soutenu par Eric Ciotti, il a obtenu l’investiture de l’UMP, ce qu’il lui a permis de se voir rejoindre par André Bezzina, le candidat officieux de Christian Estrosi. Sa profession de foi est à la fois simple et lapidaire: « Je suis prêt pour ma ville »
Nice Premium : Vous êtes candidat à la prochaine élection municipale. En un mot : Pourquoi ?
Christophe Trojani : Pour Villefranche, la plus belle ville du Monde !
Nice Premium : Quels sont vos trois principaux axes de campagne et, de fait, vos trois projets inhérents à ceux-ci ?
Christophe Trojani : Une gouvernance honnête, un urbanisme équilibré, un dynamisme respectueux.
Nice Premium : Une élection, ce sont aussi des adversaires. Comment jaugez-vous les vôtres ?
Christophe Trojani : Pas de commentaire, d’autant que Je n’ai aucun ennemi à Villefranche
Nice Premium : Ce qui est le plus urgent dans la ville, c’est de… ?
Christophe Trojani : Libérer les énergies et restaurer la confiance des Villefranchois envers les élus
Nice Premium : Quel sera votre calendrier jusqu’au 23 mars et quels seront vos grands rendez-vous ?
Christophe Trojani : Trois meetings et quatre réunions publiques
Nice Premium : Nous sommes au soir du premier tour. Vous vous imaginez dans quelle posture ?
Christophe Trojani : Vainqueur dès le 1er tour
Nice Premium : On parle beaucoup de la montée des extrêmes, votre avis sur ce sujet ?
Christophe Trojani : Par chance, les Villefranchois ne connaissent pas les extrêmes
Nice Premium : Vous serez un candidat heureux, si et seulement si… ?
Christophe Trojani : Je suis déjà un candidat et un homme heureux.