Les français iront aujourd’hui dans leur majoirité aux urnes pour le 1er tour de l’élection présidentielle qui permettra de choisir les deux candidats qui se disputeront le 6 mai le devoir et l’honneur de servir la Nation en tant que Président de la République.
Les électeurs pourront choisir entre pas moins de 10 candidats, ce qui garantit le pluralisme entre idéologies, programmes, profil de candidats.
Chacune et chacun pourra porter sa préference pour un ou une suivant son libre choix.
Nice-Premium a suivi cette campagne du mieux qu’il a pu, donnant la voix à tous ceux qui lui on demandé.
Fidèle à sa conception de vouloir être un outil de communication indépendent et participatif, n’ayant pas aucun intêrét à représenter ni interlocuteurs commerciaux à bien servir, nous suivont un cap simple: le pluralisme et la trasparence.
Et quand nous nous trompons dans une information ou dans un jugement, nous aimons le faire tous seuls, sans besoin de commanditaires ou souffleurs.
C’est pour cela qu’en cette campagne présidentielle nous avons relaté les positions des uns et des autres sans parti pris et nous remercions les représentants locaux des candidats de ne pas avoir essayé de nous influencer.
Ce sera ainsi pour le deuxième tour de la Présidentielle ainsi que , succéssivement, pour les élections législatives.
Nous n’ignorons l’importance du choix du nouveau Président de la République: que ce soit le candidat sortant ou un autre, beaucoup de choses changeront dans le panorama politique national et local.
Les législatives en seront fortement influencées, une dynamique se mettra en place dans un sens ou l’autre, des positions et équilibres seront modifiés.
L’impact sur la vie politique locale sera également important, des nouvelles situations pourront se manifester, des équilibres différents des actuels pourront en être la conséquence.
Cette remise en cause permanente à l’occasion d’une écheance électorale est un bien précieux, le sel de la démocratie: c’est aux citoyens qui forment le corps électoral qui revient le droit et le devoir de choisir ceux qui sont appelés aux résponsabilités publiques, de les confirmer ou revoquer.
C’est celle-ci la première et la plus importante règle de la démocratie participative.
Si on a foi en cette condition privilegié ( combien de pays ont un président ou un gouvernement élus suivant les règles démocratiques telles que noue les connaissons? beaucoup moins de ce qu’on pense!), on ne peut que reconnaitre la valeur d’un autre principe: en démocratie, l’électorat a toujours raison aprce que le vote est l’acte qui réunit la personne privé ( nous mêmes) et la personne publique ( l’électeur).
Et maintenant place aux bulletins de vote.
