Accompagné des candidats écolo-communistes Philippe Pellegrini et sa suppléante Florence Ciaravola (qui dimanche prochain se présenteront aux électeurs pour la partielle de la 5ème circonscription des Alpes-Maritimes), Robert Injey a repris le bâton du pèlerin qui lui va si bien , pour contrer le discours triomphant de Christian Estrosi pour lequel l’opération Eco-Vallée est l’équivalent de la construction d’une nouvelle Athènes.
« Non ! – dit le dirigeant communiste, ancien élu au conseil municipal de Nice – le mythe de l’Eco-Vallée vendue par Christian Estrosi s’efface pour laisser la place à sa véritable réalité : béton-vallée ».
En fait, les chantiers en cours et les panneaux qui dévoilent ceux que l’on verra dans un futur proche, laissent prévoir une densification de l’offre de bureaux et d’habitations qui changera totalement le panorama de cette vallée qu’on pourra rebaptiser Nice 2.
Le bilan de cette Opération d’Intérêt National on pourrait le résumer en deux mots- ajoute Robert Injey : « Mépris démocratique et bétonnage ». Et de la définir comme une « Opération d’intérêt particulier », en laissant dans le doute ses interlocuteurs.* A quelqu’un sifflera les oreilles ?
Face à cette situation, Robert Injey et ses compagnons appellent à « Un plan d’urgence pour sauver la plaine du Var » et ses zones inondables et conserver une activité agricole sur des terres parmi les plus fertiles du pays.
La vallée verte et solidaire qui est dans les voeux des écolo-communistes représenterai entre 120 et 150 hectares. « Il n’est pas encore trop tard » dit Robert Injey.
Une pancarte avec l’inscription « vallée verte et solidaire » est posée symboliquement au début du boulevard Simone Veil.
Pour combien de temps ?