À quelques semaines de la COP26 à Glasgow, une nouvelle étude tire la sonnette d’alarme. Le groupe de recherche Climate Central a illustré la montée des eaux dans 180 lieux de la planète, dont Nice, et le résultat est pour le moins inquiétant.
Si nous limitons le réchauffement climatique à 1,5°C, c’est-à-dire si nous réduisons drastiquement les émissions de CO2, les eaux monteront quand même, au moins jusqu’au cours Saleya. Toutefois, le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a estimé qu’il serait impossible de limiter le réchauffement climatique à 1,5°C à moins de prendre des mesures radicales.
Dans un scénario plus dramatique, mais peut-être plus probable, c’est-à-dire si nous gardons nos émissions de CO2 telles qu’elles le sont actuellement et que la hausse de la température s’élève à 3°C, c’est tout le vieux Nice et une bonne partie de la coulée verte qui se retrouveront sous les eaux.
Même si ce scénario n’arrivera pas avant plusieurs centaines d’années, la menace est belle et bien réelle, et le constat est alarmant.