Lors d’une récente émission radiophonique locale sur le football, l’entraîneur de l’OGC Nice, Frédéric Antonetti, avait fait remarqué que les questions des auditeurs étaient bien tranchées, voire presque choisies, tant il est vrai que les premières interrogations des amateurs de FM et de l’OGC Nice n’étaient pas que des compliments envers lui-même et son travail.
De cette émission, ce sont des différents sons de cloche que chacune des parties a fait connaître par voie de presse et de site web respectif. Mais, le nœud principal du problème est bien l’interview et sa compréhension par chacune des parties.
D’un côté une radio qui laisse réagir les auditeurs (en les questionnant auparavant sur leur prénom et le sujet de leur appel). De l’autre, un entraîneur parfois médusé par un « je regrette vraiment Gernot Rohr » lancé par le premier auditeur, fan du Gym’ depuis de nombreuses années.
L’alchimie ne se fera donc pas avec les deux autres auditeurs suivants qui, pour le moins, ne semblaient pas apprécier outre mesure le nouveau chef d’orchestre de la maison rouge et noire.
Le reste vous l’avez suivi dans vos nice-matinales colonnes ou au sein du forum officiel du club avec l’intervention de l’Union des journalistes sportifs français qui épingle l’OGC Nice par voie de presse alors que semble-t-il l’incident avait été clos par le Président du Club, M. Maurice Cohen.
Bref, tout ça pour dire qu’une interview ne reste qu’une interview…
Mais une interview, ça ne se passe pas si souvent comme on l’avait prévue et régulièrement on doit gérer des impondérables auxquels on n’avait évidemment pas pensé.
Une interview, c’est la rencontre d’au moins deux personnes qui doivent faire avec leur humeurs et leur tempérament du moment…ou de leurs origines.
Une interview c’est un moment, une tchatche qui peut rester légère voire frivole mais qui parfois peut se transformer en un instant difficile à vivre comme à gérer.
Bref, Voici Frédéric Antonetti dans deux versions d’interviewes pour vous prouver que ce que je me permet de vous annoncer n’est pas loin de la vérité, à vous de juger ?
Franck Viano
