On a toujours en mémoire la candidature de Nice pour les Jeux Olympiques d’hiver de 2018. Une candidature qui avait étonné dans un premier temps mais efficacement séduit dans un second.
La commission exécutive (CE) du Comité International Olympique (CIO) a décidé que les villes requérantes d’Oslo (Norvège), Almaty (Kazakhstan) et Beijing (République populaire de Chine)* accéderaient à la phase « villes candidates » dans le cadre de la procédure de candidature à l’organisation des Jeux Olympiques d’hiver de 2022.
La CE a pris sa décision sur la base d’une analyse technique des demandes de candidature soumises par les villes requérantes en début d’année. L’examen et le rapport qui a suivi ont été réalisés par un groupe de travail nommé par le CIO et composé d’experts des Jeux Olympiques qui ont évalué la capacité de chaque ville requérante à organiser des Jeux Olympiques d’hiver réussis en 2022.
L’évaluation technique reposait sur un certain nombre de critères portant sur toute une série de domaines parmi lesquels les sites, le transport, l’hébergement et la sécurité.
Les villes ont été invitées à présenter une candidature adaptée à leur réalité et à soumettre des projets reflétant la façon dont les Jeux pourraient leur être bénéfiques, à elles ainsi qu’à leur région, en offrant un héritage positif et durable à leur population. C’est précisément ce qu’ont fait Oslo, Almaty et Beijing.