Ce mardi, les hockeyeurs niçois ont affronté leur rival grenoblois. Un match à oublier pour nos niçois qui n’ont pas su s’imposer dans ce match. Une défaite (1-4) difficile à digérer pour nos joueurs.
Face au 1er du classement de la Ligue Magnus, les Aigles n’ont pas su imposer leur jeu. Dans une salle froide mais réchauffée par le chant des supporters, les niçois avaient à cœur de prendre leur revanche.
Manque de réalisme et de solution
Les hockeyeurs azuréens ont très mal débuté leur match. Dès la première minute du match, Aurélien Dair marque un but d’un coup de crosse puissant. Grenoble mène dans cette partie (0-1). Avec des problèmes en défense et un manque d’application devant la cage adverse, les Aigles sont à nouveau punis. Matias Bachelet trouve la faille dans le but gardé par Raphaël Garnier et les Brûleurs de Loups prennent le cap (0-2). Trois minutes plus tard, les Isérois enterrent encore plus les Azuréens avec une magnifique transmission d’Alexandre Mallet pour son compatriote canadien Christophe Boivin. A la 9ème minute, c’est le début de la fin pour nos joueurs. Valentin Grossetete se défait de la défense et trouve une ouverture qui trompe le slovène Luka Kalan et le gardien niçois. (0-4) pour les Grenoblois dans le premier-tiers.
Dans cette seconde période, los Aigles comptent bien remonter dans ce match. Ils rentrent sur le terrain plus déterminés que jamais. Les joueurs suivent le palet à la trace et n’hésitent pas à foncer dans le tas. Une équipe différente qu’en début de match se retrouve devant les spectateurs de la patinoire Jean Bouin. Les coups de crosse font vibrer la salle et les joueurs se rendent coup pour coups. Il a fallu attendre la 19ème minute pour que le niçois Nicolas Ruel trouve enfin le chemin de la cage de Pintaric. Un peu d’espoir pour nos Aigles qui terminent cette seconde période avec trois buts de retard (1-4).
Nice craque
Les Aigles se font dominer dans l’entame de ce dernier tiers. Les Grenoblois se montrent poussifs et campent dans la moitié de terrain niçoise. Ils multiplient les coups et tournent autour de la cage du gardien. Nice peut dire merci à Raphaël Garnier, le gardien remplaçant, qui enchaîne les arrêts. À 10 minutes de la fin, les Azuréens prennent les devants et s’installent chez les Isérois. Mais les occasions ne se concrétisent pas, et toujours pas de buts pour nos rouges et noir. Une triste fin de match sans buts et une énième défaite pour nos Aigles. Rendez-vous demain pour le 4e match de la série.