C’est en parcourant tranquillement le calendrier de cette prochaine Ligue 1 que nous avons décelé une récurrence certaine dans l’ordre de certaines rencontres de championnat.
En effet, les aiglons niçois rencontrent très régulièrement l’équipe qui vient de jouer son match précédent contre l’Olympique Lyonnais. Quand on sait comme il est difficile de jouer contre les quintuples champions de France, on se pose effectivement la question sur le désavantage de jouer contre une équipe qui, dans le meilleur des cas, a réussi à décrocher un match nul face à l’ogre lyonnais qui ommence cette saison sur des chapeaux de roue.
On commence dès la première journée où Nantes reçoit Lyon alors que la semaine d’après, les canaris nantais viendront défier les aiglons au stade du Ray.
Viennent ensuite Lyon – Toulouse (2ème journée) suivi d’un Toulouse – Nice (3ème journée), la confrontation directe Nice – Lyon (4ème journée) puis on repart sur Bordeaux – Lyon (3ème journée) suivi de Bordeaux-Nice (5ème journée).
Lyon recevra Troyes lors de la 5ème journée et ces mêmes Troyens recevront les niçois une fois de plus juste la journée d’après.
Une 7ème journée avec Lyon – Lille donne une 8ème journée avec un Lille – Nice.
Marseille – Lyon au programme de la 10ème journée suivi d’un implacable Nice – Marseille lors de la 11ème journée.
Une 20ème journée agrémentée d’un Toulouse – Lyon alors qu’au programme de la 21ème, on retrouve un étonnant Nice… Toulouse. On continue ensuite avec Troyes – Lyon (23ème journée) suivi d’un Nice – Troyes (24ème journée)….
Certes, cela n’est certainement qu’une pure et simple coïncidence et loin de nous l’idée d’imaginer un autre « complot » contre l’OGC Nice à la manière de la presse nationale ou de la SNCF, l’an dernier, mais il n’en reste pas moins que rencontrer les joueurs ayant croisé la route des hommes du Président Aulas n’est pas d’un grand avantage.
Voilà donc la petite histoire d’un calendrier que l’équipe de Nice Première va essayer de décrypter et de comprendre ses modalités de mise en place.
Quels « ficanas » ces niçois !