La 1ère édition de la Journée des Vélo-écoles aura lieu vendredi 16 septembre 2011, en ouverture de la Semaine européenne de la mobilité. Cette Journée des Vélo-écoles s’inscrit dans les priorités de l’édition 2011 de la Semaine européenne de la mobilité, qui se déroule du 16 au 22 septembre : le thème de « la marche et le vélo : c’est bon pour la santé ! » a été choisi par le ministère du Développement durable, aux côtés de l’autopartage, les véhicules décarbonés, le numérique au service de l’écomobilité et le covoiturage.
Une initiative du Club des villes et territoires cyclables, de la Fédération française de cyclisme (FFC), de la Fédération française de cylotourisme (FFCT), de la Fédération française des usagers de la bicyclette (FUB) et du Syndicat des moniteurs cyclistes français (MCF), qui veulent développer l’apprentissage du vélo pour les enfants et les adultes.
Pour cette première édition, les acteurs locaux organiseront les actions de leur choix dans le champ de l’apprentissage : journée « portes ouvertes » dans les vélo-écoles, interventions dans les écoles, les entreprises, les administrations ou les centres sociaux, randonnées avec les élèves d’une vélo-école…
L’objectif est d’informer et sensibiliser tous les publics concernés par l’apprentissage du vélo et de mettre en avant l’intérêt de sa pratique, non seulement pour les loisirs, mais aussi et surtout pour les déplacements domicile-travail et domicile-école.
Les vélo-écoles : structures le plus souvent associatives, composées de bénévoles et/ou de salariés, elles ont pour objectif d’apprendre aux cyclistes à être autonomes dans leurs déplacements quotidiens à vélo : domicile-école, domicile-travail, et pas seulement de loisirs.
Les vélo-écoles sont comparables aux auto-écoles, au sens où elles apprennent à l’usager (scolaires, adultes, seniors, femmes issues de l’immigration, personnes en situation de handicap…) à se servir de
son moyen de transport (le vélo), et à connaître les règles de circulation qu’il doit suivre.
Elles sont financées par les cotisations perçues par l’association, les recettes des « stagiaires » qui viennent suivre les cours, et des financements publics (subventions des collectivités, fonds européens…).